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    .En tenue de taekwondo. Tenue de souffrance.
    La danse me manque. Je regarde les clips qui défilent devant mes yeux, et toutes ces filles (que je n'apprécie pas pour autant) me rappelent que je l'ai abandonné. La salsa, le tamouré, le jazz, le raggae. C'est du laisser pour compte. Je m'en mords les doigts, mais je me sens plus le courage de monter des chorés pour des jolis miss alors que j'ai mon bac à passer. Déjà trop de tentations essayent de me détourner du droit chemin, ce blog par exemple... Mea Culpa. Je m'en vais à l'espagnol!

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  • Je me transforme en petit rat de bibliothèque depui quelques semaines. Et je rencontre d'autres rats à qui je n'osai pas adresser la parole. Des joulis rats avec un jouli sourire. Alors que j'étais assise, plongé en pleine consruction européenne, le nez à moitié dans mes annales, à moitié dans le vide, ce petit rayon de soleil rentre dans la bibliothèque. Un arc en ciel qui m'a toujours prêté son plus beau sourire quand on se croisait dans les couloirs.Ô comme c'est agréable les gens comme ca. Et du coup, elle m'a marqué, elle m'a vraiment touché, bien qu'on ne se soit jamais adressé la parole. Donc tandis qu'elle esquissait quelques pas autour de ma table pour chercher un bon livre, je tentais de capter son regard désirant peut etre entamer une conversation avec ce bout de femme que je trouvais rayonnant. De meme de son coté. Je la sentais hésitante à me parler. Elle se décida sur un livre, et s'avanca près du bureau de la bibliothécaire pour l'emprunter. C'était un Sherlock Holmes. Craignant qu'elle parte comme elle était venue, je me dirigeai vers elle avec le Journal d'Anna Franck. Je lui tendis le bouquin qui allait nous permettre de communiquer. " Si tu l'as jamais lu, je te conseille vraiment celui la. Il est vraiment bon". On a échangé deux ou trois phrases, dont un merci. En retournant m'asseoir, j'ai remarqué qu'elle avait rougit ne sachant quoi me dire d'autre. Elle a finalement pris le Journal et est sorti de la biblio, m'adressant un dernier grand sourire, un merci et un bye bye. Je ne connais toujours pas son prénom.

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  • Previously on desperate housewives...
    Je m'engage, tout tristement, sur le chemin le plus long de l'année. On ne saura que le 21 juin si il s'agit d'une impasse, ou s'il a pu me mener quelque part. Du coup je vais me faire rare sur cette petite page. Mais fièrement, malgré la peur, j'avance! Je ne m'attends pas à la belle mention qui fait honneur, je désire juste avoir mon bac, sans aucune autre prétention. Je me fiche des avis de fin de trimestre, après tout, si je le mérite ca sera grace à moi, à mon travail, et pas grace à un avis favorable qui personnellement, me ferait douter de mes capacités. Et j'arpente ce chemin, les mains bien devant moi en cas de chute. Et si chute il doit y avoir, je sais que je ne serai pas seule, mais je l'aurai mérité. Encore peu de temps pour faire pencher la balance de mon coté, meme si elle l'est déjà, je sais qu'on peut avoir de mauvaises surprises le jour J. Autant se parer à toutes les possibilités. Tic Tac Tic Tac...
    *
    Et pendant ce temps, de l'autre coté du miroir, les projets se font, se défont, de nouvelles ambitions, d'autres qui restent fidèles à mes désirs. Mais d'abord et avant tout, Lui. Ce projet. Mon projet. Celui avec qui nos racines se sont tellement entremêlées qu'il ait désormais impossible de les séparer. Ce petit bout de tellement de choses. Cette petite chose si surprenante à mes yeux. Ce monsieur qui me montre le droit chemin sans que je le lui demande. L'attachement à une personne est la pire chose qui puisse nous arriver, parce qu'il arrive toujours un moment ou il faut se détacher.


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  • .Dans sa bulle.
    Comme j'aimerai t'y rejoindre, et me laisser pousser par le vent au grè de ses envies. Atteindre un jour ce que l'on s'est promis. Plus le temps passe plus le fait de me blottir contre ton torse me réjouit.
    *
    Plus qu'à quelques jours du bac maintenant. Je ne suis meme plus stréssée, je ne m'endors plus le soir avec cette désagréable chaleur qui envahissait mon bidou chaque soir. Non, je suis désormais bercée au rythme de mes révisions. Au lycée, on sent déjà l'odeur de la fin de l'année. Celle qui oblige tout le monde à sécher les cours pour bosser sincèrement. :] Celle qui nous empeche de nous lever le matin, quand on a le nez coincé sous la couette, qu'il pleut et qu'on se dit que si on se lève on va voir sa prof de lettre en première heure. Dur...


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    Restes dans l'ombre, les yeux clos. Ne t'en fais pas petite, tu n'iras plus bien loin. La souris glisse encore mais c'est l'inspiration qui te fait défaut. Sur cette terre, tu n'es pas plus qu'un autre. Peut etre dans une autre vie, un autre monde. Prends de la distance.

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